I. Informations personnelles
[*]Nom : Steal
[*]Prénom : Jonathan
[*]Surnom : Jon’
[*]Age : 19 ans
[*]Date de naissance : 21 Octobre 1988
[*]Lieu de naissance : New York ~ Manhattan
[*]Nationalité : Américain
[*]Profession du père : Célèbre compositeur de thèmes musicales pour des films à gros budget, il a notamment travailler sur « Le Seigneur des Anneaux »
[*]Profession de la mère : Philosophe, elle a publié quelques livres…
[*] Famille : Bon est bien c’est pourtant très clair, Jonathan a deux parents très chique pas forcément là pour lui, mais qui essaie tout de même d’être proche de leurs enfants. Leurs, car Jonathan a une sœur jumelle, Lexie Steal. Tout deux s’entendent parfaitement bien. Il ne peuvent pas vivre l’un sans l’autre, ils sont, comme qui dirait, connecté par ce lien qu’est la naissance.
[*]Rencontre des parents : (5 lignes min.) Il y a bien longtemps, dans un pays romantique comme tout, un pays magique et très touristique que l’on appelle communément France, oui dans ce pays et précisément à Paris, c’était la première d’un grand film américain. Toute la croisette était là. Les plus grands acteurs aux réalisateurs, bref, c’était ce qu’il y avait de plus cossu à cette époque. Pour préciser un peu tout, nous nous intéresserons au réalisateur de la bande originale du film, Harry Steal et à la petite amie d’un des acteurs, Majandra Hokins. L’un avait 27 ans, l’autre en avait 24. Le couple de Majandra et de l’acteur n’allait plus très bien, mais pas bien du tout. L’acteur flirtait avec n’importe quelle « nenette » qui passait devant son nez et Majandra ne disait rien, elle ne disait rien parce que c’était grâce à lui qu’elle avait pu réaliser son rêve, publier son premier livre. C’est dur la vie d’auteur philosophique. Donc elle restait sous la coupe de l’acteur en faisant semblant de ne rien voir. C’était le mieux qu’elle puisse faire le temps qu’elle trouve une édition qui veuille bien publier ses livres sans trop de fraie. Et donc ce jour là, à la soirée, après le film, vous savez dans ces cocktails si pompeux et si ennuyants…Ce soir là, Harry se retourna un peu trop vite avec son verre dans la main. Le contenu termina sa chute sur le pied d’une jeune femme. S’excusant comme il le pouvait, Harry croisa alors le regard de Majandra et c’était là, le coup de foudre. Un faible sourire, des excuses de la demoiselle pour ne pas avoir fait attention elle aussi, et un sentiment de vide quand ils durent se quitter. A cette soirée, Majandra et Harry avait commencé à faire connaissance. Tous deux avaient trouvé des points communs et ils s’étaient tout de suite plus, mais malheureusement, les numéros ne purent s’échanger puisque l’acteur, qui avait trop bu, devint rouge de jalousie quand il vit sa femme parler avec ce compositeur. Il l’emporta alors hors de la soirée sous les flashs des appareils photos...
Et puis, quelques jours plus tard, on retrouve Majandra sur les Champs Elysée avec des paquets de magasin dans ses mains. Elle était en compagnie de ses amies et riait légère, joyeuse, mais seulement de l’extérieur car depuis le cocktail, elle ne pouvait effacer de sa mémoire de Harry qui hantait ses nuits. Et puis, une vision ou autre chose devant ses yeux, là, c’était lui. Il avait un café à la main et lui adressé un sourire. Les amies de Majandra devaient partir, alors elle se retrouva seule avec Harry. Ils prirent le café ensemble, parlèrent de tout et de rien et proposèrent un autre rendez-vous. C’est à partir de ce moment que Majandra et Harry commencèrent à se voir et quand le jeune homme lui promit de trouver un éditeur pour ses livres, elle termina sa relation avec l’acteur, deux jours plus tard. Et puis le temps continué à s’écouler. Majandra devait partir pour une conférence en Egypte mais avant de partir, un dernier rendez vous sur la Tour Effel et Harry lui avoua son amour. Harry qui devait retourner à New York, invita Majandra à le rejoindre, elle accepta et depuis ils vivent un parfais couple avec un parfais amour.
II. Parcours scolaire
[*]Maternelle/Primaire : (5 lignes min. )Que dire sur ses premières années à l’école ? Jon’ n’a jamais vraiment aimé l’école. Il préféré toujours dessiné, ou jouet avec des petites voitures. Du moins durant la maternelle. Ce n’était pas du genre à jouer aux supers héros avec les petits garçons qui aimaient terroriser les filles. En parlant des filles, il était souvent avec elle. Enfin surtout avec sa jumelle. Contrairement à lui, elle réussissait tout à chaque fois. Lui, il travaillait assez bien, mais ne cherchait pas à avoir la meilleure moyenne, bien au contraire. Sa jumelle n’avait pas beaucoup d’ami, seul son frère restait avec elle. Il prenait soin d’elle et la protéger les autres filles qui se moquaient d’elle. Jon’ ? Personne ne se moquait de lui. Sauf peut-être les gros durs qui se demandait pourquoi il préférait lire que de jouer au foot. Mais à par ça, il avait toujours des amis et des personnes avec qui jouer. C’était un élève moyen et les professeurs pensaient qu’il pouvait faire bien mieux que ça. Enfin Jonathan s’en fichait, lui tant qu’il pouvait resté lire sans se préoccuper de sa table de sept !
>>Anecdocte : (facultatif) C’était le premier garçon de sa classe à lire un livre. Un vrai livre, sans images et avec plus de cent pages !
[*]Collège : (5 lignes min.) Le collège…Lexie avait enfin des amies. Jon’ ne se sentait plus obligé de resté avec elle. Il se fit lui aussi des amies. Rêveurs, tous étaient plus ou moins pareils. Jon’ était un peu leur chef. Il avait déjà cet état d’esprit. Protecteur et attentionné. Les professeurs se disaient toujours qu’il pouvait mieux faire, mais Jonathan n’a jamais cherché à travailler. Il allait en cours les mains dans les poches, parlant du dernier Seigneur des Anneaux avec ses amis. Il n’était pas forcément très ouvert et ne s’intéressait pas encore aux filles. Il jouait de temps en temps au chat, mais laissé toujours le groupe de garçon qui s’intéressait déjà aux filles à jouer au foot. Ce n’était toujours pas son genre, et ça ne le sera jamais. A ce moment là, plutôt littéraire, on pouvait déjà prévoir ses prochaines années. Il aimait écrire, lire et tout ce qui pouvait l’emporter au pays des rêves.
>>Anecdocte : (facultatif) Il a déjà lu le Seigneur des Anneaux dés l’âge de 13 ans.
[*]Lycée : (5 lignes min.) C’est peut-être ces années dans lesquelles il se montra sous son vrai jour. A sa sortie du collège, il perdit des amis puisque ceux-ci s’étaient ralliés aux garçons dragueurs. Jon’ n’a pas bronché, bien au contraire, il prit ce changement de comportement avec philosophie. Il s’approcha alors de sa sœur qui devint étrangement hautaine envers lui. Mais il resta protecteur envers elle et ne la laissa jamais tombé. Au fil des années, un petit groupe de plus en plus grand se forma autour de Jonathan. Littéraires, rêveurs, artistes, il trouva la plus part de ses véritables amis tel que Kyle Summers. Et puis les filles commençaient à attirer le regard de ces jeunes hommes. Mais l’esprit plutôt réservé et romantique de ces jeunes hommes les empêchèrent de sortir avec les filles juste pour s’amuser, comme les garçons du foot. Nan, pour eux c’était plus que ça. Pour l’école, Jonathan ne changea pas. Il travailla peut-être un peu plus pour garder une moyenne correcte mais rien de plus.
>>Anecdocte :(facultatif) //
[*]Entrée à la Prestigious Academy : (5 lignes min.) Il garda ses amis de ses années de lycée. Il en trouva d’ailleurs de nouveau entra dans le groupe des Prestigious Lover'Boyz. Il rencontra alors Dolce, une jeune femme tout à fait ravissante, fraîche et avec un petit côté têtue. Ils s’entendirent rapidement très bien et devinrent amis. Et puis le temps passa et il fut élu King du groupe à son grand étonnement, n’ayant rien demandé. Pourtant il en profita un peu trop. C’est cette année là qu’il fit la plus grosse faute de sa vie. Il entretint une relation avec Carla Daren, la petite amie de son meilleur ami. Quand Kyle le découvrit, il s’emporta rapidement et depuis se jour ne peut plus supporter la vu de Jon’ qui pourtant a déjà essayé à plusieurs reprises de se faire excuser. Que dire encore…Cette année là il avait de bon résultat. Pourquoi ? Parce que malgré sa mauvaise passe, il se remit au travail sérieusement.