Ryuu | Lu Hang ou Bruce Lee &le retour de la combi jaune

I. Informations personnelles

[*]Nom : Takehiko
[*]Prénom : Ryuunosuke
[*]Surnom : Ryuunosuke n’est pas vraiment très friand des surnoms mais si vous tenez absolument à lui en donner un, il parviendra à ne pas trop tiquer si le prénom « Ryuu » franchit vos lèvres. Néanmoins il est conseillé d’être un tant soit peu estimé du jeune homme pour avoir le droit de le surnommer. Il parait évident de préciser que personne ne le surnomme excepté dans sa famille et encore…

[*]Age : 18 ans
[*]Date de naissance : 13 Février 1989
[*]Lieu de naissance : Los Angeles, Californie, Etats-Unis
[*]Nationalité : Américaine et japonaise

[*]Profession du père : Gérant de complexes hôteliers internationaux. Ryuunosuke ne le voit pas souvent -pour ne pas dire quasiment jamais- sauf lorsque ce dernier se souvient avoir une charmante progéniture ou bien lorsque la dite progéniture se rappelle à lui suite à divers ennuis ou poursuites judiciaires. De sympathiques réunions de famille ont alors lieu en présence de policiers ma foi très discrets... Evidemment durant ces rendez-vous très prisés, la veine du cou de son cher paternel danse la gigue en voyant l'héritier de sa fortune, se tenir debout derrière les barreaux, à une distance raisonnable afin d’éviter la furie paternelle, souriant.
[*]Profession de la mère : Sa mère ne travaille pas, n'en voyant aucun intérêt puisqu'être entretenue suffit à son bonheur. Lorsqu'elle s'ennuie, elle participe aux galas et œuvres de charités internationaux mais bien souvent la compagnie d'autres prétendus richards lui donne une é-pou-van-ta-ble migraine alors elle évite cela autant qu'elle le peut. Toutefois, elle raffole visiter les salons de thé avec toutes ses copines liftées et siliconées où elles dégusteront du bout de leurs doigts french manucurés des scones agrémentés d'une tasse de thé et discuteront de leurs ô combien ravissantes têtes blondes.
[*] Famille : Ryuunosuke n'eut jamais à subir les affres des enfants divorcés puisque très tôt ses parents s'entendirent pour mener des activités extraconjugales dirons-nous ou plutôt négocièrent mutuellement le silence de l'autre. On ne peut donc pas dire que Ryuu grandit dans un environnement sain, entouré d'amour, plutôt tout le contraire : balloté de week-ends en week-ends dans le monde, il voyait les amants et amantes entrer et sortir de sa vie avec une vitesse fulgurante. Il renonça à les appeler par leurs prénoms et se contenta d'appeler Patrick les aventures de sa mère et Laetitia celles de son père, ce qui suscita bien des questions de la part des dénommés Patrick et Laetitia mais le jeune homme n'en avait cure, se contentant de les toiser d'un regard condescendant comme s'ils n'étaient rien d'autre qu'une immonde tâche de graisse sur son polo blanc favori.
[*] Groupe : Prestigious Bad'Boyz

[*]Rencontre des parents :

« Vous allez vous marier au printemps prochain. »
Jessica avait relevé la tête surprise dans la contemplation de sa serviette depuis quelques secondes, tentant de comprendre les quelques mots balancés sur un ton badin par cet homme au visage revêche. Ses lèvres s’entrouvrirent pour laisser échapper une protestation d’usage alors que ses pieds prenaient déjà appui sur le sol carrelé de la salle à manger pour se relever brusquement mais trop tard, on la prenait déjà de court.
« Hors de question ! » s’était exclamée une voix masculine.
Posant ses yeux sur l’usurpateur de sa belle sortie, elle le maudit intérieurement alors qu’elle le remarquait pour la première fois. Une voix autoritaire s’éleva alors et elle n’eut pas besoin de tourner la tête pour se rendre compte qu’il s’agissait de la voix autoritaire de son géniteur qui se lissait la moustache comme s’il avait affaire à une quelconque vente de bétail et examinait scrupuleusement le troupeau ou alors Jessica devait arrêter de se repasser tous les vieux westerns en boucle. Bref, elle garda les yeux posés sur l’inopportun qui semblait se moquer éperdument de l’interrogation muette apparaissant dans ses yeux verts. Frustrée par son indifférence, elle détourna le regard, feignant la dignité offensée du cygne atteint par la bave du crapaud qui tentait maladroitement d’attraper la mouche qui n’allait pas tarder à se poser sur le blanc plumage mais toutefois lui jeta quelques regards en coin, avisa son air renfrogné jusqu’à ce qu’il ne quitte la table d’une manière assez grossière. Surprise et voulant en toucher deux mots à ce misérable cafard qui l’insupportait déjà par sa vulgarité, elle prétexta vouloir se repoudrer le nez et fila dehors. La jeune femme retrouva son promis, appuyé contre la façade de la bâtisse, une cigarette à peine allumée entre les lèvres. Il ne paraissait pas la voir tandis que la mélancolie s’égrenait sur son visage en voyant le ciel se couvrir de nuages gris et amena une main soignée à son visage pour expulser une fumée blanche qui le fit un instant tousser. Elle ne dit rien, s’attendant à ce qu’il commence puisqu’il avait entrouvert les lèvres sans y ramener la cigarette et c’est ce qu’il fit cinq bonnes minutes plus tard tandis qu’elle s’apprêtait à se retourner, résignée à rentrer.
« Ca ne te fait rien cette histoire de mariage arrangé ? »
Elle s’autorisa quelques secondes de réflexion avant de s’approcher de lui.
« Si, bien sûr que si mais ce n’est pas comme si… »
« Comme si on avait vraiment le choix ? » l’interrompit-il en la fixant du regard.
« Oui… »
« On l’a. »
Un rire moqueur s’étrangla hors de sa gorge et il lui fallut quelques secondes pour s’apercevoir que c’était le sien.
« Non. On a rien du tout. Et si on refuse, on aura rien. Rien de rien. Toi ça te plairait peut-être de finir serveur dans un petit bistro situé sur une départementale dans le Texas mais pas moi. »
« Tout ce que tu veux, c’est l’héritage hein ? »
« Tu comprends vite. »
Elle se retourna, un sourire narquois aux lèvres.
« C’est d’accord. »
Jessica Straight , future Madame Kazuki Takehiro, ne ralentit pas le pas et franchit les portes fenêtres, laissant le fiancé allumer tranquillement une deuxième cigarette dans le jardin de sa villa. Qu’importe s’il se ruinait les poumons tant qu’elle avait l’argent, le reste n’avait pas d’importance...

II. Parcours scolaire

[*]Maternelle/Primaire : Ryuunosuke a grandit avec une cuillère en or entre ses fines lèvres ciselées, façon de parler évidemment sinon le jeune bambin aurait trouvé le moyen de l'avaler pour faire renvoyer dans un bel ensemble nourrice et gouvernante dont il supportait à grand peine la face rougeaude de l'une et le visage crispé de l'autre. S’il avait pu, il aurait également fait renvoyer son empoté de précepteur mais bon, il devait se contenter de faire régulièrement renvoyer des bonnes que l’on soupçonnait de vol ou bien d’avoir cassé tel ou tel vase précieux ou autre œuvre d’art facilement brisée par une balle de baseball qu’il récupérait de son pas trottinant, presque blasé avant de repartir en sens inverse pour faire semblant de continuer à jouer sagement, adressant un large sourire à la pauvre bonne qu’il allait pointer d’un doigt accusateur à l’instant même où sa mère surgirait, un léger pli de contrariété sur son front auparavant lisse.

>>Anecdocte : Alors qu'il venait de fêter ses sept ans, Ryuu apprit une désagréable nouvelle : sa mère était enceinte. Considérant vaguement l'enfant à venir comme un bâtard et encore plus certainement comme une gêne, ce fut avec un évident et profond soulagement que neuf mois plus tard, son père lui annonça que sa mère avait accouché d'une petite fille mort-née. Egoïstement, il s'en réjouit mais déchanta légèrement lorsqu'il vit la folie poindre dans les yeux de sa génitrice qui dut subir des séances avec les psychiatres les plus réputés afin d'annihiler ou de cacher au mieux son trouble. Mais de temps à autres, le jeune garçon entendait une comptine filtrer depuis la porte de la chambre qui avait été aménagée pour le second enfant alors il la poussait délicatement et avisait sa mère, assise sur un rocking-chair, se balançant doucement, étreignant une poupée contre sa poitrine, vaine simagrée d'un bébé qui ne poussera jamais son premier cri. C'est alors que dépité, il reculait et retournait dans sa chambre, préférant effacer de sa mémoire l'aspect négligé et mélancolique de Jessica.

[*]Collège : Surprise... Ryuunosuke gagna un aller simple pour un pensionnat anglais réputé particulièrement strict où il eut le temps et le loisir d'apprendre comment faire son lit et comment bien plier ses affaires mais s'amusait à paraître négligé dans son uniforme pour choquer au possible la sœur qui avait la malchance de tirer à la courte paille l'inspection de sa chambre. Car oui comble de misère, sa "nouvelle maison" avait le chic pour être religieuse et BCBG, une sacrée douche froide pour le petit monsieur lorsqu'il avait quitté la limousine dans son uniforme qu'il jugeait supra laid et avait ignoré avec indifférence les regards curieux de ses futurs camarades, ayant l'intention d'entrer et de ressortir aussitôt du bâtiment, en passant par la case bureau du directeur, sans toucher les 20 000 dollars et finir directement dans sa prison dorée favorite, chez lui mais cela ne se passa pas aussi aisément qu'il l'aurait cru.

>>Anecdocte :

«Entre Ryuunosuke. Mets-toi à l’aise. »
Le ton affable du vieil homme rabougri l’avait aussitôt crispé à peine arrivé dans le bureau du directeur et il s’avança malgré lui, s’assit dans un des deux fauteuils de cuir faisant face au bureau de chêne puis dévisagea ouvertement l’homme avant de froncer le nez comme incommodé par une odeur franchement désagréable et cela provenait à n’en pas douter de son interlocuteur. Il puait la gentillesse à trois kilomètres à la ronde et la répulsion serra la gorge du jeune homme qui s’apprêtait à prendre au plus vite congé lorsque la porte s’ouvrit. Surpris, oubliant son air blasé, Ryuu se retourna et fixa l’intrus qui venait de débouler et se tenait à présent à demi courbé, poings sur les cuisses, reprenant sa respiration. Ne pouvant voir son visage, le japonais observa avec attention ses vêtements mais s’aperçut au premier coup d’œil et avec désappointement que son « futur » camarade portait l’uniforme, identique à celui qui l’attendait dans sa valise s’il ne parvenait pas à s’échapper d’ici. Le visage du directeur se fendit d’un sourire.
« James. Toujours en retard. »
« Dé…so…lé. » marmonna-t-il avant de se redresser avec un sourire rayonnant à l’adresse de Ryuunosuke.
Contrairement à l’effet voulu, Ryuu détesta aussitôt ce jeune homme aux yeux azurs, à la coupe courte d’un blond californien et à l’accent si… anglais mais par-dessus tout ce qui le fit bouillir ce fut l’air gentil qu’affichait le dénommé James en s’avançant vers lui.
« Salut. Tu dois être Ryu, c’est ça ? Moi c’est James Frey, enchanté. »
Ignorant ouvertement la main tendue, Ryuu planta son regard dans le sien jusqu’à ce que ce dernier ne se sente visiblement gêné puisqu’il se détourna et baissa sa main.
« Ryuunosuke, James sera ton camarade de chambre. »
Il devait avoir mal entendu. Camarade de chambre ? Quelle idée absurde mais le regard dégoulinant de miel qu’affichait le blond le ramena de suite sur terre. Calmant son sang bouillonnant, il se tourna de nouveau vers le vieil homme, haussant un sourcil.
« Je vous demande pardon ? »

[*]Lycée : Il avait promis avec un sourire hypocrite de lui écrire et s’était éloigné d’un pas tranquille, laissant James sur le seuil du pensionnat, oubliant aussitôt toutes promesses qu’il aurait pu faire au blond avec qui il avait passé plusieurs années ou plutôt qu’il avait supporté durant toutes ces années. Enfin fini avec cet endroit insipide, il retournait à L.A. pour entrer au lycée, ayant convaincu son paternel de sa « bonne foi » avec d’excellents résultats scolaires tout en déroutant quantité de psychiatres. Un défi, voilà ce qu’était le cas de Ryuunosuke Takehiro pour la profession anglaise. Bien entendu, ces résultats avaient trouvés écho chez Kazuki mais il n’en tenait compte du moment que son héritier se tenait à carreau. Ryuu intégra donc un précieux lycée rempli de gens fortunés comme lui et mielleux à souhait où il se fit les dents durant de longues années, distillant perfidie sur perfidie, s’amusant à rabaisser quiconque et à déclencher maintes bagarres, bagarres auxquelles il ne prenait jamais part évidemment sans quoi il aurait tâché ses vêtements. Comme tout autre adolescent, il découvrit un univers tentateur, celui des nuits de L.A. où l’alcool coule à flots, où la drogue se prend avec des billets de 100$ minimum et où certains couchent comme d’autres feraient les courses. Bien que la drogue ne lui convint pas du tout, l’alcool lui sauta dans les bras et bien sûr le sexe ne tarda pas non plus mais il préférait la boisson aux plaisirs charnels puisque jamais la bouteille d’alcool ne le harcèlerait pour le revoir ou bien c’était le signe qu’il était déjà saoul. Merveilleuse période que celle de l’insouciance grisée par la bouteille et la cigarette où ils refaisaient le monde dans une Porsche Carrera, rêvant d’autres débauches, d’autres rixes. Comprenant vite que ce mode de vie déplaisait à Kazuki à en voir l’air sombre qu’il affichait lorsque son fils fut pour la première fois gentiment raccompagné par deux officiers de polices, Ryuunosuke cessa sa manie de vouloir paraître toujours irréprochable et impeccable. Les officiers ne tardèrent donc pas à le revoir, légèrement amoché lors d’un violent conflit.

>>Anecdocte : Le sol se rapprocha à une vitesse vertigineuse puis un amer goût envahit son palais, la dégustation fut âpre et bien qu'il n'eut jamais eu le loisir de le goûter avant, Ryuunosuke savait pertinemment que c'était son sang qui l'incommodait autant. Il n'avait pas voulu se salir les mains mais il n'avait pas eu trop le choix lorsqu'on l'avait presque soulevé du siège alors qu'il se contentait de ricaner de manière plus ou moins discrète. Et le colosse avait abattu son énorme boudin lui faisant office de main sur le visage de porcelaine du jeune homme qui maintenant faisait le mort comme si le coup l'avait assommé, réfléchissant à la meilleure échappatoire. Il n'y pouvait rien s'il était un homme d'esprit plus qu'un mastodonte de graisse ou de muscles et à présent sa supériorité naturelle lui faisait défaut, s'étant fait la malle dès le premier coup, laissant hors service son propriétaire. Ce n'était pas comme s'il n'avait pas la force suffisante -ou presque- mais tout comme les moustiques, il rechignait à l'exercice physique, il n'y pouvait rien, ce n'était pas dans sa nature de trimer. Allongé sur l'asphalte, le jeune homme vit deux phares lumineux s'approcher et puis plus rien, tout sombra dans l'obscurité...

[*]Entrée à la Prestigious Academy : Son entrée à la PA fut quelque peu "forcée" par son très cher géniteur qui lui annonça tout de go après une énième arrestation -parce qu'il s'amusait beaucoup avec un dépoussiérant éco pour ordinateurs et ne marchait donc pas du tout droit sur la voie publique, jouant à 1 2 3 Soleil tout seul ; bref qui lui tint ce vertueux langage : l'école militaire dans un coin écossais très certainement ou bien la Prestigious Academy. C'est donc à contrecœur qu'il concéda pour la PA, se disant que cela ne pourrait pas être pire que le pensionnat avec les sœurs et Jamesie ou encore l'école militaire. A tort ou à raison...

C'est toi Vi' ?? mdrr

Héhé, tu crois ? Confirmes-tu ta réponse ? XD ->

Après mon pti passage au flood et la convers' tripante shyzo c'est mon dernier choix Jean Pierre ->

Nous allons valider cette réponse...
*sonnerie*
Ah, il semblerait qu'il n'y ait plus de temps ^^' Je vous dis donc à demain dans "Qui veut passer pour un con" Merciii bonne souarée, ciaociaooo ->

mdr ben en fait je peux pas dire non donc je vais dire oui, c'est moi XD

xDDDD
Qui veut passer pour un con->
Mais si tu peux pas dire NON et que t'as pas envie de dire oui...tu peux toujours dire PEUT ETRE -> xD

... OU PAAAS !
*SBAAF*
XD
->

Huhu allez stop le flood ^^ sale gosse ->

[woui je pourrais enlever le flood entre les deux mais à défaut d'ouvrir la fenêtre, j'aère et pis c'est ma préso alors je fais ce que je veux -avec mes cheveux LOREAL parce que Ryuu le vaut bien (a)- bon bref, j'arrête de m'enfoncer XD ->]

III. Psychologie

[*]Défauts :Un sale gosse. Voilà le premier mot venant à l'esprit de quiconque le rencontrerait tandis qu'une moue narquoise étirerait ses lèvres pour distiller sa perfidie. Ses mots sous le couvert du cynisme et du sarcasme sont venimeux et ne visent qu'à rabaisser quiconque en fera les frais, ce qui lui procure un intense et jouissif sentiment de supériorité. Ryuu est donc un emmerdeur né, doublé d'un profiteur qui saisira la moindre opportunité pour poignarder quiconque dans le dos. Bien entendu sa vengeance n'est pas aveugle mais peut être épouvantablement lâche car le jeune homme n'est pas immensément courageux ni né avec un sens profond de la justice, lui il tient à faire son petit bonhomme de chemin tranquille et tant pis si d'autres périssent sous ses talons tant que lui survit, les autres l'indifférent et souvent il s'ennuie en leur compagnie ou les étudie avec le détachement d'un scientifique. Ainsi le pauvre petit se voit contraint d'être un garçon arrogant qui fera tout pour avoir le dernier mot et ne baissera jamais les yeux, ni ne ploiera le genou, sauf momentanément s'il se fait taper dessus. Il combat alors son instinct de survie ou y cède, selon la situation mais bien souvent il fait preuve de froideur, presque de manière inhumaine.

[*]Qualités :Il ne faut pas non plus croire que Ryuu n'a aucune qualité, seulement pour faire le charme de sa personne, elles sont très rares et très bien dissimulées. Tout d'abord, il a un sens aigu de l'honneur mais le sien évidemment, c'est-à-dire que s'il fait une promesse, il la tiendra même s'il râle des heures - les miracles n'existent pas voyons. Sa franchise est légendaire et lui attire beaucoup d'ennuis mais on ne peut pas lui reprocher une hypocrisie malhonnête puisque dans un tel cas, il se montrera tellement mielleux que ça en deviendra suspect. Malgré pas mal de travers, Ryuunosuke ne se mêle pas de la vie des autres ou très peu, tout dépend s'il décide de s'en moquer ou non mais ce n'est pas son genre d'aller fouiner sauf s'il a vraiment une dent contre cette personne auquel cas il deviendra buté comme un âne jusqu'à ce qu'il trouve une faille. Il peut être spontané si on le cherche trop, délaissant son esprit calculateur et manipulateur pour une seconde d'honnêteté ou pas... Encore une qualité que le jeune homme possède c'est une indifférence marquée vis-à-vis de l'avis des autres et il cache bien à ses derniers que les seuls êtres qu'il peut supporter sans tirer la tronche sont des animaux, tout particulièrement des chiens et des êtres encore innocents comme des bébés ou des enfants en bas âge. Allons donc, il n'en veut pas encore à la Terre entière, c'est déjà ça...

[*]Manies : Quand il est sous l'emprise d'émotions trop violentes ou bien que la personne jouissant de sa présence déteste la cigarette, le petit monsieur ressent l'envie de fumer sinon il lui arrive de lisser ses vêtements après qu'on l'ait touché comme par provocation.

[*]Phobies : Il pourrait avoir des tendances agora phobiques puisqu'il ne supporte pas être TROP entouré, surtout par des cruches babillant et gloussant à qui mieux mieux. Sous ses airs durs, l'idée de tomber amoureux le fait flipper comme un jeune puceau mais plutôt crever que de l'avouer.

IV. Goûts

[*]Aime : Ryuunosuke adore rabaisser les gens, c'est une véritable passion, un art auquel il se voue corps et âme. C'est bien connu, il aime la provoc' mais n'est pas sûr d'aimer les filles provocantes, enfin elles lui plaisent un tant soit peu si elles ont une bonne répartie, si elles se contentent de baisser la tête ou de fondre en larmes, généralement, il s'en fiche royalement. Les pleurnichardes, pas pour lui, sauf si elles le complimentent mais pas longtemps alors parce qu'il n'aime pas les filles hypocrites et culcul la praline.
Côté hobbies, il aime lire, surtout s'il peut prouver aux autres qu'ils sont des crétins finis parce qu'ils n'ont pas su comprendre tel ou tel livre mais également traînasser dans son lit durant des heures par excès de paresse.
Très gourmand, il est plutôt bon cuisinier, spécialisé surtout dans les plats asiatiques, il en raffole.

[*]Déteste : Ryuu déteste qu'on tente de l'humilier ou quoi que ce soit de son genre, bien que lui-même ne se dérange pas pour le faire de son côté. Il n'aime pas non plus ne pas avoir le dernier mot parce que ça finit par l'obséder au bout du compte et que durant les heures d'insomnie, il cogite trop et que sa propre existence en vient à l'ennuyer. Il déteste aussi l'autorité parce qu'il ne reconnait que la sienne comme tout bon ado en conflit avec ses parents ou tout autre figure parentale. Il ne supporte également pas l'idée que tout soit écrit d'avance ou que son père envisage déjà qu'après la PA, il prenne la succession de son entreprise, épouse une richissime poufiasse avec un quotient intellectuel aussi élevé qu'une huître ouverte et puis s'enterre dans une villa sécurisée de Beverly Hills pour lui faire deux à trois magnifiques bambins pétés de fric et tous plus arrogants les uns que les autres. Pourtant il n'a pas trop le choix et n'aime pas être acculé au mur ainsi...

[*] Signe Particulier : Des yeux bridés, une gueule d'ange, un corps à tomber raide et un caractère infernal. Que demander de plus ? Ah et un accent japonais qu'il renouvelle avec joie durant les vacances, ravi d'embrouiller ni vu ni connu les crétins d'Américains lorsqu'il parle jap.

V. Apparence :

[*]Style vestimentaire : Ryuu n'a pas de style vestimentaire particulier puisque quels que soit ses habits, on lui donnerait le bon diable sans confession ou on souhaiterait lui enlever ses vêtements au plus vite et ce jusqu'à ce qu'il entrouvre ses jolies lèvres. Il lui arrive de porter des habits classes, un peu m'as-tu-vu mais bon, il se balade aussi de temps en temps avec un simple jean lâche, torse nu et pieds nus mais ça c'est quand il est chez lui, il ne faut pas s'attendre à le croiser souvent ainsi ici, surtout avec le port de l'uniforme, dommage pour son côté un peu oldschool. M'enfin faut dire qu'il lui va bien quand même l'uniforme, surtout s'il décide de déboutonner un peu sa chemise...

[*]Marques préférées : Ryuu n'a pas de marques préférées puisqu'il pioche un peu dans tout mais son fournisseur récurrent de jean est très certainement Levis ou bien Diesel, peut-être à part égale. Non honnêtement il les aime toutes du moment que ses vêtements sont payés avec une Platinium et rarement accessible au commun des mortels.

[*]Coiffures/make up : Fervent adorateur des couleurs, les cheveux du japonais sont dorénavant d'un brun chaud, presque noir corbeau, reflet de ses prunelles. Sa coupe est on ne peut plus simple par rapport aux coupes alambiquées des Américains avec leur crête ou autre vilenie mais au moins il ne passe pas trois heures à les coiffer, un simple effet naturel qui peut être donné par ses doigts fins.

VI. Autres :

[*]Avatar : Yamashita Tomohisa

[*]Mutli-compte : Peut-être [ou pas XD]

[*]Girl or Guy ? Girl

[*] Code : 007

» Ryuu's Toto.
» Noyau Toto [Tintin, Ryuu, Kiki, Max', Dan' et Gaby]
» Dure, dure la reprise...[Ryuu machin chose xD]
» Le retour de Duncan
» Mysterious Bermudes : THE retour xD